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blackdragon

25 septembre 2006

La vocation de ce blog a pour objectif principal

imagesLa vocation de ce blog a pour objectif principal de mettre au premier plan les divers articles et opinions trouvées sur la place et pour lesquels nous considérons que nosu devons servir de relai. Il est également vrai que le maniement de la plume est toujours plus aisé lorsqu'il assuré par un autre...

Dérrogation sera faîte à l'essence même de ce blog. Une opinion que peu de personnes partageront mais qui mérite quand même d'être dîte.

Réagissant - cette fois-ci  - à la petite phrase assassine prononcée par le président Temaru selon laquelle " l'Education nationale fabrique des crétins et des chômeurs"

Une fois n'est pas coutûme mais Oscar dit vrai, lui et son gouvernement en sont le parfait exemple. On dit de lui qu'il a eu un parcours scolaire des plus normal, rappelons surtout qu'Oscar a arrêté sa relation avec l'Education Nationale à 16 ans et quelques quarante années plus tard deviendra Président de la PF...

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25 septembre 2006

Le double language d'Oscar

Temarublard

Le double language d'Oscar

25 septembre 2006

Augmentation du coût de la vie : la faute aux consommateurs

DROLLET ACCUSE LES CONSOMMATEURS
drol

Augmentation du coût de la vie : la faute aux consommateurs

La population, qui sait ce que compter veut dire, en a assez des circonvolutions de langage de Jacqui Drollet. Non seulement " l'économie va bien " mais dans " Les Nouvelles " de ce jour (mercredi 20 septembre) il atteint des sommets en matière de cynisme ou plus prosaïquement et pour parler comme son patron Temaru de " crétinisme ".
La vie augmente de manière vertigineuse depuis le taui. Drollet déclare " tout le ...

monde ou presque estime qu'il faut prendre des mesures pour diminuer le coût de la vie en Polynésie. Cela correspond tout à fait à l'action du gouvernement qui répond ainsi à une attente de 63% des sondés ". L'IEOM comme l'ISPF ou les associations de consommateurs sont formels : ce sont les taxes instaurées par le gouvernement qui sont  à l'origine de cette inflation (+ de 3%). C'est donc au gouvernement et à lui seul que Drollet doit s'en prendre. Et n'est-il pas le ministre des Finances de ce gouvernement ?

Affirmer que le projet " Autaeaera'a " a amélioré le pouvoir d'achat des salariés est un mensonge et une imposture que même les plus inféodés au tavini ne croit  plus depuis longtemps. Jacqui Drollet se moque du monde.

Plus fort, Drollet met carrément en cause les consommateurs " car le meilleur contrôleur de concurrence et de prix, c'est le consommateur. C'est lui qui accepte ou refuse les prix, change de magasin, change de produit ou de prestataires de service ". Pour lui " cette attitude du consommateur, c'est elle qui a le vrai pouvoir de faire baiser durablement les prix ".

Il fallait le dire. Si les consommateurs voit fondre leur pouvoir d'achat ils n'ont qu'à s'en prendre qu'à eux-mêmes. C'est de leur faute.

Ce taui nous en aura fait voir de toutes les couleurs. Le pire c'est que pour boucher les trous du prochain budget, les taxes et impôts vont encore augmenter. A force de prendre les Polynésiens pour des imbéciles nul doute qu'il y a des lendemains qui vont déchanter.

30 avril 2006

J'ai la mémoire qui flanche...

Notre Nicole paysanne se rebiffe. Non elle n'est pas la responsable du fiasco de la plateforme autonomiste. Entre-nous une plateforme autonomiste avec un indépendantiste incendiaire, un élu aux mains sales et des girouettes, il n'y avait que Rautahi pour y croire ! Donc notre Nicole et son acolyte, tout drapé de linge blanc, plus blanc que blanc aurait dit Coluche, montrent les dents. Tiens tiens, on les croyait amorphe ! Le Président de l'Assemblée a même traité "Rautahi" de filiale du Tahoeraa Huiraatira'a. Oh, ce n'est sans doute pas totalement faux. Mais d'où elle vient la Nicole ? Et bien oui, du Tahoeraa. Et pourquoi elle est partie la Nicole ? Parce que l'orange était pourrie ? Non, non, non, elle se bagarrait avec sa copine Brigitte au Tourisme dans un remake du film "Un fauteuil pour deux". La première était coachée par le patriarche, la seconde par Mazarin. En gros, c'était à qui dégagerait l'autre... Et elle a perdu... Mais tout ceci n'est qu'un lointain souvenir... "je l'aurai, un jour je l'aurai..."

23 avril 2006

Un gouvernement croupion, une Assemblée bidon ! by CB

«  Nous utiliserons tous les moyens qu’il faut pour rester au pouvoir » Cette petite phrase, non ce n’est pas Gaston Flosse qui l’a prononcée contrairement aux idées reçues, mais Oscar Temaru le mercredi 19 avril devant un aréopage de journalistes et d’observateurs. C’est dire le peu de cas qu’il fait de l’opinion publique dont il se soucie comme de colin-tampon ou sa parfaite connaissance d’une presse nounou dont il sait pertinemment qu’elle ne relaie que ce qui l’arrange.

Sur les bitumes que la vertu républicaine déserte, subsistent toutefois deux tutelles apparentes : le dégoût vis-à-vis de l’ensemble de la classe politique et la féodalité des seigneurs sur des hommes sans foi ni loi dont ils dépendent. Et au-delà de cela, de tous côtés, les pôles, clandestins ou pas, accumulent les secrets verrouillés des réseaux dormants prêts à tout instant à être réveillés.

Comme on pouvait s’en douter l’effet de zoom sur ce gouvernement croupion que vient de nommer Oscar Temaru est l’illustration parfaite de la fin de la médiocrité au profit de la nullité. Sachez que le sieur Domingo, bascule d’entre les bascules, veut à tout prix obtenir de Temaru le ministère de la Mer. Pourquoi ? Mais parce qu’il adore aller pêcher à la mouche et qu’il est expert, et oui lui aussi, dans l’art de la pêche !!!!! C’est dire le haut niveau de ces gens là. Pathétique !

Reste ce marché ouvert des ministères qui se donnent, se reprennent et se redonnent, si étranger à notre modèle républicain et si éloigné des compétences des gouvernements oranges qui garantissaient la paisibilité du Pays. Bien au contraire. Ce gouvernement croupion est celui de l’incompétence, de l’intolérance et de la trahison.

De nos jours, les pays développés ou en voie de développement ne maintiennent leur statut que par une productivité accrue et donc par une élévation générale et constante des niveaux d’instruction. La Polynésie de Temaru a pris le chemin inverse. Concluez.

Il n’y a dans ce « fenua » aucune sensibilité civique, aucune morale publique pour la sauvegarde du principe démocratique. Ceux qui ont, ou critiquent encore Gaston Flosse, pour ses erreurs bien minimes par rapport à celles auxquelles nous assistons, n’ont pas compris que la stabilité flossienne pendant 20 ans a permis à la Polynésie française de s’épanouir. Ce n’est pas le cas avec un Oscar Temaru drapé dans son fantasme de souveraineté à tout prix, n’ayant de cesse, au contraire, de faire grimper : instabilité politique, médiocrité, clientélisme, hypocrisie, intolérance, autoritarisme, gabegie des fonds publics (attendons le prochain rapport de la Chambre territoriale des comptes). En vérité, pour corser le feuilleton de l’indépendance qui demeure le seul credo de ce président, nous ingurgitons de force le piment d’une impuissance crasse à gouverner correctement  épiçant, jour après jour, la pantalonnade actuelle. D’où la démission d' Emile Vernaudon et de Hiro Tefaarere.

A l’Assemblée jeudi 20 avril, la majorité  – gros ventre et petits bras- a refusé au Tahoeraa la présidence des trois commissions auxquelles il avait droit, au point de pousser Philip Schyle à sortir de son « ni-ni » pour lui lancer un timide «  Mais tout de même vous ne pouvez pas tout avoir ! » Myron Mataoa, président du groupe UPLD s’est alors écrié en regardant le président du groupe honni : « Vous n’aurez rien ! »

Flosse fatigué de ce marchandage indigne et indécent a conseillé à son président de groupe Édouard Fritch de ne plus discuter et de "laisser tomber ».

A 16h les représentants  étaient toujours en train de discuter de la composition de l’Assemblée permanente. De retour dans l’hémicycle, l’introduction sur la liste du Tahoeraa d’un non inscrit Hiro Tefaarere a donné lieu à des passes d’armes entre Tahoeraa et UPLD. Jean Christophe Bouissou est alors intervenu pour dire son dégoût sur « l’achat » des îliens et contrer le Vert Bryant en laissant tomber : «Lorsqu’on a qu’une centaine de voix on se tait ! »

Mais si Emile Vernaudon est resté très silencieux au cours de cette séance, Hiro Tefaarere  défendant sa position a remis les pendules à l’heure. « Moi «  a-t-il lancé « j’ai démissionné de ce gouvernement et j’ai donné mes raisons. J’ai ici trois lettres, je vais vous lire à titre d'exemple celle de Dauphin Domingo   (voir dans confidences). Missive explosive par son contenu lapidaire,qui a laissé les représentants UPLD aphones. Car tous les observateurs savaient que moins de quelques heures plus tard, le signataire de ce réquisitoire brûlant anti gouvernemental acceptait, sans honte, le ministère que lui proposait Oscar Temaru  à condition qu'il quitte le Ai'a Api.

Bref, le pire étant toujours à venir,le vote à main levée pour l'attribution des sièges à la Commission permanente a donné : 12 pour l’UPLD, 9 pour le Tahoeraa  avec une ouverture vers les non inscrits, et deux abstentionnistes ... devinez lesquels !

En résumé il convient de tirer les conclusions du chopsoy temariste auquel nous assistons tristement depuis deux jours. Entendre à la fin d’une conférence de presse devant un président regaillardi la claque hurler « longue vie au président Temaru, que dieu le protège », alors oui, on a conscience qu’on entre dans une dictature médiévale du niveau des Imam en Iran, dans une secte ou encore dans une madrasa, mais là, c’est faire à ces gens de peu de culture beaucoup d’honneur. Président à vie du Front de Libération de la Polynésie française (Tavini), Temaru rêve d’être président à vie de Tahiti Nui comme Walter Lini, son grand ami, le tyrannique pasteur protestant, l’a été au Vanuatu. Sa soif de souveraineté ne s'arrêtera pas à la porte de son nouveau gouvernement.

Que penser finalement de l’avenir, sinon que dans ce pays où rien ne va plus, on est en droit de poser la question : A quand les étuis péniens avec une croix au bout en guise de goupillon ?

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20 avril 2006

La métamorphose by Underground689

gvntNous avons parlé abondamment des Homopoliticuspolynesianus qui traînaient savates dans l’enceinte de l’Assemblée. Nous avons même découvert grâce à Taote Politita l’existence d’une souche plus ancienne, les Homopoliticus Versatilis.

Et bien depuis quelques jours, nous assistons à la mutation d'un grand nombre de ces êtres dépourvus de toute morale et idéologie. Je ne sais si une overdose de chocolat pascal y est pour quelque chose, mais nous assistons à la métamorphose des Homopoliticusgirouettus en doryphore, ce qui est tout de même plus mignon qu’un cloporte mais tout aussi nuisible.

« Insecte, arrondi au dos bombé rayé de 10 rayures jaunes et 10 rayures noires (d'où le nom scientifique pluprédenuutaniamonfils) . Les antennes sont courtes,  en massue avec les segments bien détachés. Le thorax et la tête sont bruns. L'appareil buccal est du type broyeur - Les pattes sont musclées, même si l'animal se déplace lentement. Le doryphore est capable de voler (au propre comme au figuré).  Au printemps les adultes s'accouplent et la femelle pond jusqu'à la fin de l'été 2500 oeufs environs, par paquet de 20. Au bout de 4 à 10 jours, les oeufs éclosent: les larves rose-oranges (ce n’est pas une blague) tachetées de points noirs réguliers peuvent commencer le carnage!
Le doryphore possède peu de prédateur à cause de sa toxicité relative, mise en avant par ses couleurs vives. Au Canada, on l'appelle la "bibite à patate" mais on pourrait lui donner un autre nom « le bouffeur de patate ». Et ça en ce moment, il y en a de la patate qui circule dans les couloirs de l'Assemblée.
Pauvre Polynésie, tu avais déjà la mouche du fruit pour pourrir tes agrumes, maintenant il va falloir également lutter contre les doryphores.

Tous sur les insectes sur www.patwo.com

20 avril 2006

Qui occupe vraiment le perchoir, Schyle ou Bouteau ?

nicole1Il aura fallu l’obstination d’Oscar Temaru à démolir la France à l’étranger, ses mensonges répétés pour « libérer » la Polynésie du « joug » de l’État au plan intérieur et international, son acharnement à gommer rageusement tout ce qui avait été fait avant lui, au lieu de construire une « nouvelle » Polynésie pour changer la donne. Sans compter ses voyages multiples et ses parties de golf quotidiennes menées au détriment d’une conduite raisonnable des affaires du pays, abandonnées entre les mains du vice président, la dégringolade économique, le chômage et les abus d’une solidarité à sens unique, l’arrêt des investissements, et une hausse drastique du coût de la vie, pour finalement faire prendre conscience à une majorité de polynésiens qu’il n’était pas l’homme qu’il fallait au bonheur de chacun. Il aura réussi, entre autres, le tour de force d’unir des adversaires jusqu’à peu, égarés dans leurs terrains respectifs mais autonomistes de coeur, respectant la France. Il ne pourra, en conséquence,s’en prendre qu’à lui-même et à son ministre de l’Économie, si son gouvernement chute d’ici le mois de juillet. Sans quitter le travers potinier pour expliquer le parcours de cette majorité extrêmement fragilisée par les seuls ressorts d’une folle ambition de souveraineté et du cynisme de ceux qui devaient changer la planète polynésienne, relevons que la réaction populaire à l’application du train de taxes à partir de mardi 18 avril, risque de mettre le feu aux poudres d’un malaise persistant qui monte en puissance. La nouvelle vague des augmentations par l’avalanche de taxes verra probablement le sursaut fédérateur à la protestation politique. Jamais, comme certains veulent le faire croire, le syndrome de la sébile n’a marqué le pays. Celle d’une juste solidarité de la France à notre égard est en revanche tout à fait saine et amicale par le biais de conventions honorables où chaque partie apporte ce qu’elle peut. Or, gardons à l’esprit que ces conventions ont presque toutes été récusées par le président du Pays qui n’a pas jugé utile d’aller les négocier avec les ministres concernés. Pas à l’aise à Paris, Oscar Temaru n’a jamais montré des qualités de négociateurs. La folle semaine que nous venons de vivre avant Pâques a généré bien sûr des commentaires les plus divers. Dans leurs discours, Oscar Temaru et Tony Geros ne cachaient pas leur sympathie pour le candidat de la dernière heure Philip Schyle et vice et versa. Observez cette soudaineté à se plier à une demande de révision statutaire, unique cheval de bataille d’ADN à l’Assemblée. Les observateurs avertis l’ont bien vite relevé, alors que la presse d’une seule voix chantait les louanges du gentil Philip, droit dans ses bottes et ses valeurs, lesquelles, bien sûr, ne sont pas celles de la plateforme autonomiste Tahoeraa/Te Rima Ohipa, comme Nicole Bouteau l’a laissé entendre lors de sa conférence de presse. Faut-il comprendre que l’UPLD et ADN ont le monopole des valeurs de respect, de liberté de pensée (ah...) de s’exprimer, de tolérance (sic !) ? Et que les autonomistes ne sont que des chiens galeux incarcérés dans une image négative en diable ? Or, le jour de l’élection, belle moralité en vérité, la sympathie déclarée pour l’UPLD aidant, le ventre mou de l’Assemblée s’apprêtait à faire le jeu des souverainistes pour ne pas offrir le perchoir à Gaston Tang Sang, Tahoeraa. Un homme au-dessus de tout soupçon. La manœuvre, déjouée par Gaston Flosse a fait capoter ce scénario dès le premier tour. C’est de la politique. Or, cette vision gangrenée donnée aux hommes et aux femmes qui ne se situent pas dans la zone Temaru occulte d’une façon stupéfiante toutes les turpitudes, les mensonges, les calomnies, le racisme, la médiocrité d’un camp dont on vante l’extase du mélo et du chaos. Pour l’UPLD et ses sympathisants, les transfuges Ai’a Api vers la plateforme sont des traîtres. Mais que ceux du camp orange passent chez les bleus et ce sont des héros. C’est tellement flagrant que cela en est devenu une caricature ! Quoiqu’il en soit le vote massif pour Schyle a stupéfié les indépendantistes comme les deux ADN et bouleversé les plans élaborés. Car même si, en effet,le Tahoeraa n’a jamais caché qu’il voterait pour un autre candidat mieux placé que le sien, la haine à l’air libre, dans chaque mot prononcé par Nicole Bouteau lors de sa conférence de presse à la veille de l’élection ne pouvait être qu’un rempart contre tout rapprochement ou vote autonomiste. Le discours de Philip Schyle préparé à l’avance en dit long sur ce qui était prévu. Puis, dans la foulée, les choses se sont éclaircies. On a vu de quel côté penchait le nouvel équilibriste centriste. En refusant de laisser passer le week end férié de Pâques pour permettre à Émile Vernaudon de reprendre sa place dans l’hémicycle, sous un prétexte soi-disant juridique, soufflé par Hubert Lenoir, le directeur de cabinet de Tony Geros (je suis prête à parier qu’il va conserver sa place), le nouveau président a fait émerger un bureau entièrement composé d’indépendantistes et enlevait toutes chances de participation au camp autonomiste qui venait de le couronner président. Reste désormais à attendre l’arrivée du ministre dissident au sein de la plateforme et à mouiller son doigt afin de voir de quel côté soufflera le vent. Celui, vous savez, qui fait tourner les girouettes politiques dont la Polynésie cultive la« spécificité » ou qui remet les brebis égarées dans le chemin du bercail .Quoiqu’il en soit, il est à prévoir que l’effervescence d’une autre folle semaine va s’ouvrir après une trêve pascale qui n’aura été qu’apparente. Par ailleurs, comme le fait remarquer très justement Te A’vei’a dans son commentaire, si Nicole Bouteau au top de sa popularité (sic !) dans le sondage des Nouvelles n’a pas jugé utile d’être candidate, elle qui l’était à la présidence du pays le 13 février 2005, c’est que, n’étant sûre de rien, elle n’a osé affronter la déconfiture toujours possible d’une rebuffade UPLD au dernier moment. Elle a préféré envoyer son petit soldat au charbon. Mais rassurez-vous, c’est bien elle, la présidente de l’Assemblée.

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